Sans élan d'enthousiasme, le milieu de l'éducation a accueilli avec un léger soulagement le budget, constatant que les sommes sont au rendez-vous pour maintenir les services en dépit de la crise. (...) Mais la croissance plus importante du financement du secteur privé, de l'ordre de 5 %, reste en travers de la gorge. «Cela donne un coup au ventre de voir l'enveloppe du privé augmenter davantage. Il devrait y avoir un moratoire.»